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1er blouclier Arverne des VRAC

07 mai 2016

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

BOUCLIER ARVERNE PREMIERE !!!!!!

 


Comme toute belle histoire, tout commence, par une idée, lancée un soir en réunion. Et pourquoi pas nous ? C’est parti ! On en parle, reparle, les terrains, les équipes, l’hébergement, les repas, les visites, les finances, les bénévoles……
Peu à peu tout se cale, puis les loupés, les équipes qui nous lâchent, heureusement les amis sont là, même à la dernière minute, sans oublier les prises de bec entre nous sur la couleur du tee shirt, la composition du repas ou la tenue de la buvette.


Puis c’est le grand jour, Vendredi, les Bretons sont les premiers à fouler la terre auvergnate, suivis de prêts des belges de Berneau. Premiers contacts timides, un petit déjeuner puis en route pour le Puy-De-Dôme. Pendant ce temps, une partie des Vracs s’affaire à la mise en place au château de Theix. Côté visiteurs, toute la troupe attaque l’ascension par les muletiers. Pour nous moyens montagnards, cela nous parait envisageable. Mais pour les habitants des plats pays, cela parait plus rude. Le sommet de notre dôme et son panorama séduisent nos hôtes. Le pique-nique auvergnat fait aussi bien plaisir.
Puis il est l’heure d’entamer la descente, que certaines préfèrent faire en train. On se retrouve à Beaumont pour une petite bière de récupération. Puis nous prenons nos quartiers au château de Theix. Le XV des Mercenaires nous rejoint, équipe composée de joueurs Parisiens, ex stars du porno et autres Auvergnats, que le temps a essaimé aux 4 coins de la France. Puis nos vieux amis d’Amboise débarquent.

 


Les bières et autres breuvages favorisent les échanges. Après le diner, un karaoké permet de jauger les motivations des uns et des autres, quelques duos nous projettent dans un passé plus ou moins proche, les Johnny pinpin nous rappellent leurs atomes accrochus avec la Belgique via Jean Philippe Smet et les Mercenaires trop contents de se retrouver nous déballent leurs chansons paillardes. L’ambiance est lancée. La première soirée est remportée par les Vendanges tardives qui clôturent la soirée par une course hippique suivi de quelques coq mosans.


Samedi matin, on se retrouve au petit déjeuner, quelques sourires en coin, font allusion à la soirée de la veille. Puis en route pour une visite de Clermont Ferrand, la cathédrale où Tony président d’Amboise prie pour la victoire du Stade Français (et son maintien, ce qui va marcher d’ailleurs), le marché St Pierre, la place de Jaude et notre Vercingétorix devant lequel tout le monde pose.
En guise de dessert, la boutique de l’ASM, histoire de ramener un souvenir des futurs finalistes du Top 14 (je ne me mouille pas !).


Nous prenons le repas de midi à Beaumont, Saucisse Aligot pour rester dans le local et rester collé aux toilettes.
Vers 13h30, nous faisons le point des forces en présence, un nouveau désistement (dont nous n’avons toujours pas de nouvelles !). Du coup, les VRACS en nombre, renforcent Amboise avec quelques Issoiriens, et Beaumontois. Nous créons une entente « MenCoq » franco belge, plus efficace que la collaboration des services anti terroristes. Les mercenaires sont autonomes.

 


Tout le monde affronte tout le monde, et les matchs s’enchainent sous la baguette de Antonio Salgado, arbitre émérite du comité d’Auvergne (Un grand merci à lui).


L’enjeu parfois prie sur le jeu et les quelques tensions liées au résultat retombent pour de beaux gestes techniques.
A l’issue des rencontres le gringalet parrain du tournoi, Vincent Debaty remet le bouclier aux Vendanges Tardives d’Amboise, les Vracs finissent deuxième puis les Mencoqs gratifiés du faiplay. La cuillère de bois est pour les Mercenaires.
Quelques pichets plus tard, les équipes se hissent jusqu’au Château où l’apéritif est gratifié de produits offert par nos amis.
Durant le diner, (truffade, histoire de compléter les troubles gastriques) les équipes chauffent leurs voix.


Puis c’est la soirée dansante animée par notre DJ David, toujours aussi bon, où chacun teste sa souplesse ou sa prothèse de hanche. D’autres optent pour les échanges oraux : analyses tactiques des matchs, repérage des futures recrues, le tout entrecoupé par le procès du procureur (encore une affaire Sacco et Venzetti !). La soirée file très vite, quand les rescapés, à 5h30 du matin et sous la houlette de Sebaloo (responsable des belges de Berneau) ont l’idée de reproduire les exactins de l’année passée à Lorient : réveiller tout le monde avec un « tata yoyo endiablé ».


Le dimanche matin, les paupières sont lourdes, les corps meurtris, tout le monde se quitte dans un mélange de joie et d’amertume en promettant de se revoir.


Ce fut beau, ce fut fort, ce fut riche humainement, une parenthèse dans nos vies de tous les jours. Nous voilà de nouveau prêts à repartir pour d’autres aventures en VRACS : la Belgique, l’Italie sans oublier nous amis du coin. Du fond du cœur, merci à toutes et tous

 

                                                                                                                                                                   Chameau

 

 

 

 

 

 

        

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

        

 

 

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