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Gromanche en Giscardie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

        

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

         Rdv était pris chez Louis et Valéry en ce saint jour. Pour l'occasion, le pape avait sorti son gros zoom ! Calmez vous mesdames, je ne parle pas sa sainte relique jalousement gardée par Estelle (la femme du pape, oui, je sais c'est plutôt du Borgia que du Jean Paul II).

Bref, tout le monde est jovial, il est 11h, Guénéral sort du lit au vu de sa tenue pyjamesque, d'autres du PMU au vu de leur haleine...


         On se change comme on peut, les vestiaires ont du être construits pendant la grande famine, Moussaillon et Fredo occupent 74,8 % de l'espace tant pis pour les autres.
Échauffement sérieux, annonce de la compo : quelle qu'elle soit, pas de risque d'être viré comme notre homologue Anglais. D’ailleurs l’arbitre Michou Lafarge arbore fièrement un maillot des Wallabies, tiré de la collection personnelle de Walter Spanghero.

 

         L’amiral passe nous saluer équipé de sa tronçonneuse et son chien, la première pour élimer nos défauts, le deuxième pour tester les testicules de son fils.

        Nos adversaires du jour apparaissent jeunes et vifs. Le début de match confirme nos craintes, le premier tiers temps n’est guère à notre avantage. Les erreurs de défense se paient  cache et ce malgré nos tentatives de proposer du jeu. Fin du premier tier temps, 3 essais à 0. Le deuxième tiers temps est plus à notre avantage, nous marquons 2 essais sur de beaux enchainements initiés par les gros, puis un troisième qui nous remet à flot. Malheureusement, un contre de plus de quatre vingt mètres plombe notre euphorie.

 

         Sur le dernier tiers temps, les jeunôts de cham clouent la rencontre sur 2 essais supplémentaires, pour un score final de 6 essais à 3, le tout dans un très bon esprit. La traditionnelle photo de famille en témoigne.

Après une bonne douche avec de l’eau orangée (véridique !), nous retrouvons quelques vieilles gloires : Alain Bard, Gilles Dubois, Fifi……comme on peut l’imaginer les bières se sont mises à pleuvoir alors que les jujus Cham Beau en décousaient avec leurs voisins champanellois. (Victoire des locaux 20 à 3).

 

          Au final, un bon dimanche sans applaudissement, sans Louis ni Valéry (salon de la coiffure oblige !) mais avec pleins d’échanges de rires et autres délires. Bienvenu à Fabrice (dit Mr Béa pour les Beaumontois), Nico de Cham (c’est pas son nom, en fait c’est un ocusin éloigné du Pape –Strelesky-).

 

 

 

Chameau

 

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